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Journée mondiale des zones humides 2023

Posté par Joël le 2 février 2023

Après une très longue interruption (je reviendrai peut-être sur les raisons), j’ai publié à nouveau quelques articles sur des thèmes importants de mon blog (population, vie culturelle de la commune…).

Un autre sujet a fait l’objet de très nombreux articles : l’écologie, et notamment l’eau.

Aujourd’hui, c’est la journée mondiale des zones humides.
C’est peut-être l’occasion de rafraichir les mémoires…
(c’est aussi une façon de réveiller ce blog longtemps endormi.)

 Quelques mots sur la journée mondiale des zones humides 2018 dans Comprendre pour Agir ramsar-logo-jmzh

Qu’est-ce qu’une zone humide ?

Selon le code de l’environnement, les zones humides sont des « terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ». (Art. L.211-1). 

 

Qu’est-ce que la Journée mondiale des zones humides ?

La Journée mondiale des zones humides (JMZH) est célébrée, chaque année le 2 février, pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar.

Cette journée est l’occasion pour les acteurs de l’eau et des espaces naturels – associations de protection de l’environnement, collectivités, entreprises, agriculteurs, pêcheurs, chasseurs, office de tourisme – de partager avec le plus grand nombre leurs passions pour ces milieux entre terre et eau.

Chaque année, les actions se déroulent autour d’un thème principal. Cette année le mot d’ordre est : « Il est urgent de restaurer les zones humides ».

 

Quel est l’intérêt de préserver les zones humides ?

Les zones humides ont longtemps été considérées, à tort (est-ce encore nécessaire de le préciser) comme inutiles, dérangeantes voire même nuisibles !

Une petite étude de notre histoire régionale permet facilement de comprendre l’impact des activité humaines sur la nature :
Les marais asséchés pour gagner de la place ou pour éliminer les foyers de moustiques, des rivières détournées de leur lit d’origine, parfois busées pour traverser des zones urbanisées ou des voies de communication, sont autant d’atteintes à l’équilibre d’un patrimoine naturel si fragile !

En conséquences des espèces animales et végétales ont disparues du paysage.

 

En fournissant l’eau et les aliments à quantité d’espèces, ces écosystèmes sont d’une grande biodiversité. Les zones humides regroupent les écosystèmes les plus productifs de la planète.
Au delà des dégâts sur la nature dégradée, il existe également des conséquences dramatiques pour les populations.
Ainsi, à vouloir gagner toujours plus d’espace sur les zones littorales, à construire toujours plus, toujours plus près des rivières ou sur d’anciens marais, des catastrophes humaines se produisent.

 

Alors que certains donnent l’image de bon citoyens (ou élus) écologistes, tout en ayant un mode de vie qui n’est pas en phase avec leurs déclarations ou leur image, beaucoup continuent à se préoccuper des problèmes environnementaux et font de leur mieux au quotidien.

marais salants hyères zone humide marais salants hyères zone humide marais salants hyères zone humide marais salants hyères zone humide marais salants hyères zone humide marais salants hyères zone humide marais salants hyères zone humide marais salants hyères zone humide marais salants hyères zone humide marais salants hyères zone humide marais salants hyères zone humide

 Quelques articles à lire ou à relire :

La préservation des zones humides, vu de Beuvry

Préservation des zones humides : entre belles déclarations et réalité

Inondations à Beuvry : les messages sur l’eau, le climat, le développement ou l’écocitoyenneté ont été très peu entendus.

Réseau hydrographique et lois sur l’eau

 

 

Publié dans Comprendre pour Agir, Eau, Ecologie | Pas de Commentaire »

Juste quelques lignes, juste quelques articles, juste quelques années…

Posté par Joël le 24 mars 2019

 

Il y a quelques jours, je me suis demandé si je n’allais pas faire un 3ème article sur le syndrome de Cassandre. Finalement, j’ai choisi aujourd’hui de partager ma réflexion sous un autre angle.

En effet, lorsque l’on écrit, il arrive souvent d’avoir l’impression de ne pas être « entendu ». Mais quand on s’exprime dans certaines réunions sensées faire bouger ou faire changer les choses… ce n’est pas forcément mieux !

 

J’ai ouvert ce blog il y a plus 10 ans, juste pour faire un comparatif des différents hébergeurs… Je ne savais pas trop ce qu’il deviendrai.

J’ai utilisé ce moyen d’expression pour partager des informations sur Beuvry (manifestationshistoirepopulationvie associative…),ainsi que les résultats de recherches effectuées sur différents sujets touchant de près ou de loin la commune (transports en communenvironnementréseau hydraulique régionalinformations pratiques…)

J’ai par formulé des propositions, des idées, qui n’ont pas reçu beaucoup d’écho. En voici pour mémoire quelques unes :

Boîte à lire ou boite à livres

Qu’est-ce qu’un pédibus ?

Les voyettes de Beuvry

La sécurité routière, vue de Beuvry

 

 Juste quelques lignes, juste quelques articles, juste quelques années... dans Ce blog - son auteur Ma%C3%AEtrise-de-soi

Et parfois, parmi celles-ci certaines réapparaissent… sous une forme ou sous une autre.

 

Pour comprendre dans quel état d’esprit je publie le présent article, vous pouvez aussi lire ou relire :

Réponses collectives à propos des blogs

6 ans

Réflexions personnelles et méthodes de travail

Le syndrome de Cassandre – suite

Les dossiers de Beuvry

 


Publié dans Ce blog - son auteur, Comprendre pour Agir, Zoom sur | Pas de Commentaire »

Après les dégâts sur les frênes provoqués par la chalarose, où en est-on ?

Posté par Joël le 7 septembre 2018

Certains se sont étonnés sur les réseaux sociaux de abattage d’arbres ici ou ailleurs…

Le sujet n’est pourtant pas nouveau et concerne toute l’Europe !

Déjà dans la région, comment peut-on ne pas être informé sur la chalarose ?

De nombreux articles sont parus dans la presse locale, et des reportages ont été diffusés sur France 3 : Hardelot, Audinghen, Saint-Laurent-Blangy, Phalempin, Souchez, Nieppe, Olhain, Mareuil… et Beuvry

 

Deux ans après avoir présenté un dossier complet sur le sujet et réalisé une exposition à Beuvry même, je propose de voir ce qui se passe en France avec la chalarose.

 

Dans la région, après plusieurs campagnes d’abattage, on parle de reboisement depuis un an

VIDÉO de novembre 2017 – Après la Chalarose, le reboisement débute dans les forêts du Nord-Pas-de-Calais.

À Amiens, des aulnes remplaceront les frênes.

Cliquez pour lire un article de février 2018

 

 

En attendant un reboisement qui prendra des années, la maladie progresse en France.

Après les dégâts sur les frênes provoqués par la chalarose, où en est-on ? dans Comprendre pour Agir ob_3f0c3a_progression-de-la-chalarose-du-frene-e

Emblème du Marais poitevin, le frêne est menacé de disparition.

Ce parasite a été signalé pour la première fois dans le marais en 2016.

frenes

Cliquez pour lire l’article à ce sujet

 

Exemple en forêt de Laheycourt (Meuse) : Cliquez pour lire un article de janvier 2017

 

La maladie du frêne progresse dans la Sarthe : Cliquez pour lire un article de mars 2017 

 

Thorigny-sur-Marne concernée également depuis 2017

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Lire l’article d’août 2017

 

À Vittefleur (Seine-Maritime) des frênes sont aussi menacés par la chalarose : Cliquez pour lire l’article de septembre 2017

 

Dans le Haut-Rhin, les frênes en bord des routes sont menacés de disparition

un-alignement-d-arbres-touche-par-la-chalarose-sur-la-rd-419-bis-a-la-sortie-de-heiwiller-dr-1518549422 2017 dans Revue de presse

Cliquez pour lire un article de février 2018

 

La forêt du Salbert à Belfort est également touchée par la chalarose

autour-de-l-aire-de-pique-nique-les-frenes-seront-prochainement-abattus-les-troncs-seront-stockes-sur-le-parking-en-attendant-d-etre-broyes-photo-p-ch-1522767698 2018

Lire l’article d’avril 2018 : 300 frênes malades seront abattus dans la forêt du Salbert à Belfort

 

La maladie s’est étendue donc un peu partout, y compris au Royaume-Uni où 80 millions de frênes sont touchés !

 

 

Relire également :

Cliquez pour relire l’article où je parle de l’exposé fait à Beuvry en 2016.

Journée internationale de la biodiversité, vue de Beuvry

Le frêne commun menacé de disparition

 

 


Publié dans Comprendre pour Agir, Forêt, Revue de presse | Pas de Commentaire »

Quelle solution pour Graam chien-guide à Beuvry ?

Posté par Joël le 15 août 2018

 

Avec cet été particulièrement ensoleillé, on passe beaucoup moins de temps sur internet. Encore moins de temps que les autres étés.
Je n’avais pas prévu d’écrire un nouvel article avant la fin août. Mais l’actualité Beuvrygeoise m’a donné envie de m’exprimer.

 

Quelle solution pour Graam chien-guide à Beuvry ? dans Comprendre pour Agir ffac_logo

Nous avons tous croisé ou aperçu au moins une fois dans Beuvry, madame Revillon et son fidèle compagnon Graam, chien-guide.

Un article de presse a attiré l’attention de centaines de Beuvrygeois sur sa situation impensable.

Madame Revillon a décidé de se séparer de Graam qui lui est pourtant indispensable dans sa vie de tous les jours.

La raison ?

Des plaintes à répétition parce qu’elle ne peut pas ramasser les déjections de Graam, son chien guide ! (Cliquez pour lire l’article)

 

Si on peut parfaitement comprendre l’exaspération des piétons qui subissent au quotidien les désagréments des déjections de chiens aux maitres valides sans scrupules, on ne peut pas accabler les propriétaires de chiens-guides qui ne peuvent pas ramasser les déjections de leur compagnon.

 

Les beuvrygeois engagés dans la vie locale à divers titres ne peuvent-ils pas se mobiliser au-delà des idéaux qui les différencient dans une action citoyenne dépassant les clivages pour trouver une solution ?

 

Liens :

Beuvry : elle dit adieu à son chien-guide pour quelques crottes

Commentaires sur la page Facebook du journal  

Fédération Française des Associations Chiens guides d’aveugles


Publié dans Comprendre pour Agir, Solidarité | Pas de Commentaire »

Journée internationale de la biodiversité, vue de Beuvry

Posté par Joël le 22 mai 2018

 

Certaines personnes se posent des questions sur les réseaux sociaux concernant la pollution, la mort d’animaux, la pertinence d’abatage d’arbres…
Les réponses d’autres internautes sont parfois surprenantes, approximatives ou sans rapport avec le sujet. Pourtant les informations sont aujourd’hui facilement accessibles sur internet. Il suffit de prendre le temps de faire quelques recherches… et de consulter un dictionnaire (éventuellement en ligne) lorsque l’on ne comprend pas un mot.


Aujourd’hui, 22 mai, c’est la « Journée internationale de la biodiversité ». C’est peut-être l’occasion de débattre sur des préoccupations d’actualité à Beuvry : poissons morts dans le canal (un sujet traité sur ce blog à plusieurs reprises depuis 2009), espèces menacées de disparition comme les frênes atteints par la chalarose (sujet que j’ai traité avec les Albrans en novembre 2016)…
Voici pour ceux que cela intéresse, une petite présentation de la « Journée internationale de la diversité biologique » encore appelée « Journée internationale de la biodiversité », synthèse d’informations trouvées sur plusieurs sources internet et mise sous forme d’article à la portée de tous… enfin, je l’espère.

22 mai - Journée internationale de la biodiversité

 

Quelle est l’origine de cette journée ?

Le 20 décembre 2000, l’Assemblée Générale a proclamé le 22 mai « Journée Internationale de la diversité biologique » (résolution 55/201) en référence au 22 mai 1992. Ce jour-là, lors de la Conférence de Nairobi, les pays membres des Nations Unies ont finalisé la rédaction de la Convention sur la diversité biologique. Celle-ci a ensuite été définitivement adoptée le 5 juin 1992, à Rio de Janeiro (Brésil) lors du Sommet de la Terre.

 

Qu’est-ce que la biodiversité ?

Le terme « biodiversité » est un néologisme composé à partir des mots « biologique » et « diversité », désignant la variété et la diversité du monde vivant.

Edward O. Wilson, scientifique américain considéré comme l’inventeur du mot biodiversity, en donne la définition suivante : « la totalité de toutes les variations de tout le vivant ».

Bien plus que la liste et la description des espèces vivantes qui peuplent notre planète, cette notion de biodiversité comporte la volonté de chercher à mieux comprendre les liens et les interactions existant entre les espèces et avec leurs milieux de vie.

Le but de ces études étant de préserver la diversité des espèces vivantes.

 

Mais encore ?

L’utilisation du mot « biodiversité » coïncide avec la prise de conscience de l’extinction d’espèces au cours des dernières décennies du XXe siècle.

Au cours de la convention sur la diversité biologique (CBD), la diversité biologique a été définie (Article 2 de la convention) comme :

« La variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie ; cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces ainsi que celle des écosystèmes. »

 

Que prévoit la convention sur la diversité biologique ?

Cette convention vise à assurer la conservation de la diversité biologique. Les pays signataires se sont engagés à respecter et à mettre en œuvre, dans leurs politiques nationales, plusieurs mesures concrètes. Ces pays ont, entre autres, pris l’engagement de :

  • Élaborer des stratégies portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique.
  • Établir des zones protégées pour conserver et rétablir les écosystèmes naturels et les populations d’espèces.
  • Adopter des mesures pour inciter les populations à préserver la biodiversité et à réduire les impacts des activités humaines sur cette dernière.
  • Identifier et surveiller la diversité biologique.
  • Mettre en place des actions d’éducation et de sensibilisation du public.
  • Réaliser des programmes de recherche et de formation en tenant compte des besoins particuliers des pays en développement.

Entrée en vigueur en 1993, la convention sur la diversité biologique a été ratifiée jusqu’à présent par 196 États.

 

Liens

Cliquez pour télécharger le texte intégral de la convention sur la diversité biologique

Pour mémoire,  à propos des sujets déjà traités à Beuvry (articles, dossiers consultables lors manifestations publiques et gratuites) mais qui font encore l’objet de questions dont je parle dans l’introduction :

Le frêne commun menacé de disparition

Différents articles sur l’eutrophisation

 


Publié dans Biodiversité, Comprendre pour Agir, Ephéméride, Lexique | Pas de Commentaire »

Quelques mots sur la journée mondiale des zones humides 2018

Posté par Joël le 2 février 2018

 

Le 2 février, c’est la chandeleur…  mais c’est aussi la journée mondiale des zones humides.

Cette journée mondiale des zones humides a été créée pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le mardi 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne. On l’appelle d’ailleurs « la Convention de Ramsar ».

Chaque année, un thème est attribué à la  journée mondiale des zones humides. Le thème de 2018 est « les zones humides pour un avenir urbain durable ».

 

Quelques mots sur la journée mondiale des zones humides 2018 dans Comprendre pour Agir ramsar-logo-jmzh

 

Depuis plusieurs années j’ai travaillé sur le thème de l’eau sous différents angles (eutrophisation, pollution de l’eau, cycle de l’eau, Réseau hydrographique, lois sur l’eau) et j’ai partagé le résultat de mes recherches sur ce blog ou dans le cadre associatif.

J’ai aussi réalisé des dossiers, mis à la disposition du public dans le cadre de manifestations éco-citoyennes : « Les besoin en eau dans la production alimentaire » ; « La gestion des zones humides » ; « L’eau potable »… pour au final une prise de conscience bien maigre.

 

J’ai encore dans ma besace quelques textes et dossiers sur tous ces sujets en lien avec l’eau. 

J’ai par exemple entamé début 2017 un dossier sur le thème « Les zones humides et les inondations » que je n’ai pas eu l’occasion de porter à votre connaissance (La JMZH 2017 avait pour thème « Les zones humides pour la prévention des risques de catastrophes »).

Peut-être que je trouverai un peu de temps pour en faire un condensé sur mon blog.

zone humide  Qu'est-ce qu'une zone humide ? Qu'est-ce qu'une zone humide ? Qu'est-ce qu'une zone humide ? Qu'est-ce qu'une zone humide ?

 

En attendant, à l’occasion de cette journée mondiale des zones humides 2018 je vous invite à retrouver mon travail en lisant ou relisant quelques articles :

 

Quels sont les types d’inondations ?

Qu’est-ce qu’une ZNIEFF ?

Eutrophisation en images

Préservation des zones humides : entre belles déclarations et réalité (article de 2015)

2 février : journée mondiale des zones humides (article de 2011)

La préservation des zones humides, vu de Beuvry (article de 2011)

Réseau hydrographique et lois sur l’eau

 

Vous pouvez également visiter le site officiel https://www.ramsar.org/fr/


Publié dans Comprendre pour Agir, Eau, Ecologie, Les Albrans | Pas de Commentaire »

Connaissez-vous PAPI ?

Posté par Joël le 20 novembre 2017

 

Après l’article de synthèse sur les différentes origines des inondations, je vous présente PAPI.

 

PAPI fait de la résistance… contre les inondations !

Les Programmes d’Actions de Prévention des Inondations (PAPI) ont pour objet de promouvoir une gestion intégrée des risques d’inondation en vue de réduire leurs conséquences dommageables sur la santé humaine, les biens, les activités économiques et l’environnement.
Outil de contractualisation entre l’État et les collectivités, le dispositif PAPI permet la mise en œuvre d’une politique globale, pensée à l’échelle du bassin de risque.

 Connaissez-vous PAPI ? dans Comprendre pour Agir danger-inondation

Origine de la création des PAPI

Avec le dérèglement climatique, les inquiétudes concernant les inondations sont de plus en plus nombreuses.

Le risque d’inondation concerne, en France, près de six millions de personnes et 400.000 entreprises, réparties sur le territoire de 19.000 communes.

À la suite des crues survenues entre 1999 et 2002 dans l’Aude, en Bretagne, dans la Somme et dans le sud-est de la France, le ministère du Développement durable a engagé, en 2003, une nouvelle étape dans la politique de prévention des inondations par la mise en œuvre de programmes d’actions de prévention des inondations (PAPI).

 

Le cahier des charges national comprend 7 axes

  • Axe 1 : l’amélioration de la connaissance et de la conscience du risque ;
  • Axe 2 : la surveillance, la prévision des crues et des inondations ;
  • Axe 3 : l’alerte et la gestion de crise ;
  • Axe 4 : la prise en compte du risque inondation dans l’urbanisme ;
  • Axe 5 : les actions de réduction de la vulnérabilité des personnes et des biens ;
  • Axe 6 : le ralentissement des écoulements ;
  • Axe 7 : la gestion des ouvrages de protection hydrauliques.

 

Différence entre le PAPI et le PPRI

- Le PPRI (Plan de Prévention du Risque Inondation) est un document réglementaire qui s’impose aux communes notamment en termes d’urbanisme. Il est annexé au PLU (Plan Local d’Urbanisme).

- Le PAPI, pour sa part est un programme d’actions concrètes sans portée réglementaire.

 

Et Beuvry dans tout ça ?

Traversée par la Loisne, affluent de la Lawe (qui est un affluent de la Lys), Beuvry fait donc partie du bassin versant de la Lys. Le bassin de la Lys représente 1.834 km2, et compte 225 communes réparties sur 12 sous-bassins en interaction permanente.

Le bassin versant de la Lys est régulièrement touché par des inondations dues aux débordements de cours d’eau ou aux ruissellements. 

 bassins-versants 2017 dans Eau

Bassin de la Lys et de ses affluents bleu clair

 

PAPI du bassin versant de la Lys

Le dispositif « PAPI du bassin versant de la Lys » a été mis en place en 2002 à titre expérimental sur une partie du territoire dans le cadre du Plan Bachelot (PAPI 1 : 2002-2007).

Il a ensuite été élargi en 2007 à l’ensemble du bassin de la Lys (PAPI 2 : 2007-2013).

Le PAPI 3 est prévu en deux étapes :

Une première étape de réalisation d’un PAPI dit « d’intention » sur l’année 2016 pour financer, entre autres actions, l’analyse multicritères du programme de travaux souhaité par les collectivités territorialement compétentes.

Une deuxième étape de réalisation d’un PAPI Lys 3 dit « complet » sur la période 2017-2023 pour réaliser le programme de travaux validé par l’analyse multicritères.

 

Ce PAPI 3 pour le bassin versant de la Lys a été validé le 20 octobre au niveau national. Il représente une enveloppe de 24,6 millions d’euros, dont 17 de l’État et de l’Agence de l’eau, à utiliser dans les six ans et compte 38 ouvrages et actions à réaliser.

 

Liens internes :

Quels sont les types d’inondation ?

Loisne – Lawe – Lys

 

Liens externes :

PAPI – sur le site du ministère de la Transition écologique et solidaire

PAPI du bassin versant de la Lys

Vigicrues  - Territoire Artois-Picardie

 


Publié dans Comprendre pour Agir, Eau, Géographie | 2 Commentaires »

Quels sont les types d’inondations ?

Posté par Joël le 8 novembre 2017

 

La lecture d’un article  sur une inondation exceptionnelle et meurtrière le 5 novembre 1530 aux Pays-bas m’a rappelé un sujet de conversation locale de l’été 2016 : les inondations.

On entend et on lit un peu tout et n’importe quoi, sur ce sujet comme sur d’autres d’ailleurs. La moindre des choses quand on veut aborder un sujet complexe est de se documenter. Je partage donc sur mon blog les informations que j’avais recueillies et synthétisées il y a un certain temps.

 

Rappels :

L’inondation est l’envahissement par l’eau douce ou salée, de terres qui ne sont pas submergées en temps normal, quelle qu’en soit l’origine.

L’inondation est un des principaux risques naturels en France (mais aussi dans le monde) et aussi la catastrophe naturelle causant le plus de dégâts. Elle est susceptible de provoquer des pertes de vie humaine, le déplacement de populations, d’avoir un impact sur la santé humaine, les biens et les réseaux.

 

Une inondation peut avoir différentes origines :

Le ruissellement

L’inondation par ruissellement intervient dans les zones aux pentes prononcées.

On distingue deux types d’inondation par ruissellement : le ruissellement urbain et le ruissellement agricole. Dans les deux cas, faute de pouvoir s’infiltrer dans le sol, l’eau ruisselle. Les inondations de ce type sont souvent très localisées et peuvent se manifester loin des cours d’eau.

Quels sont les types d’inondations ? dans Climat inondation-par-ruissellent

 

Le débordement des cours d’eau

Le débordement des cours d’eau survient après de fortes pluies. Le niveau du cours d’eau, gonflé par les pluies et les eaux de ruissellement provenant du bassin versant, s’élève au-dessus de son lit normal et déborde dans les plaines environnantes, on dit qu’il sort de son lit.

Debordement-differents-lits-d-une-riviere berck dans Comprendre pour Agir

 

Les dégâts seront d’autant plus importants que le bassin versant sera pentu (augmentation de l’effet « entonnoir ») et que la capacité d’infiltration du sol sera faible. La quasi-totalité de l’eau tombée dans un laps de temps très court, ne peut ni s’infiltrer ni s’évaporer et se concentre vers la rivière.

inondation-par-debordement eau dans Eau

 

La remontée de la nappe phréatique

Les nappes phréatiques sont des masses d’eau contenues dans les fissures du sous-sol et sont alimentées par la pluie dont une partie s’infiltre profondément pour les recharger. Le niveau le plus bas de la nappe phréatique s’appelle l’étiage. Il se produit en automne avant le retour des pluies.

Dans certaines conditions, par exemple une succession d’années humides, le niveau d’étiage peut devenir de plus en plus haut. Lorsque de fortes pluies se produisent et que le niveau d’étiage est inhabituellement élevé, la nappe peut alors atteindre la surface du sol. Cela entraîne une inondation « par remontée de nappe ».

remontee-de-nappe écologie

 

La submersion marine

Une submersion marine est une inondation temporaire et parfois épisodique de zone côtière, générée par la mer, avec de l’eau salée ou saumâtre, lors d’évènements météorologiques (tempête, cyclone, forte dépression et vent de mer) ou océanographiques (houle, marée, tsunami) d’ampleur très inhabituelle.

Il ne faut pas confondre avec la transgression marine qui est l’envahissement durable de zones littorales par la mer, dû à un affaissement des terres émergées ou à une élévation générale du niveau des mers.

Néanmoins, une succession de submersions marines de plus en plus fréquentes et envahissantes peut être le signe d’une transgression marine. Ce risque est aggravé par la montée de la mer due au bouleversement climatique.

 submersion Pas-de-Calais

 

A noter…

On peut ajouter également le débordement ou les conséquences de la rupture d’ouvrages artificiels hydrauliques tels que retenues d’eau, digues, canalisations (agricoles, d’eau potable, d’assainissement) ou la rupture d’une retenue naturelle comme celle d’un lac glaciaire, provoquant une inondation soudaine.

 

Et chez nous ?

Dans le département du Pas-de-Calais, les inondations se produisent principalement par débordement des cours d’eau, lors de ruissellement ou par remontée de la nappe phréatique.

 

Le Pas-de-Calais, qui comprend une importante zone de terres situées en-dessous du niveau de la mer et une zone littorale marquée par l’érosion, est directement concerné par ces risques littoraux de submersion marine.

Les risques de submersions marines voire d’une transgression marine future préoccupent de plus en plus les élus de certaines communes comme Groffliers, Conchil-le-Temple, Waben, Verton et Berck dans la baie d’Authie.

La publication de l’observatoire climat Hauts-de-France d’octobre 2017 (une bonne vingtaine de pages faciles à lire et à comprendre) confirme que le bouleversement climatique mondial concerne notre région. Ce rapport montre que l’élévation du niveau de la mer est visible sur plusieurs stations marégraphiques.

 

Voir également :

Le réchauffement climatique vu de Beuvry

Inondations à Beuvry : les messages sur l’eau, le climat, le développement ou l’écocitoyenneté ont été très peu entendus.

Parlons un peu de noues

Hydrologie et cycle de l’eau

Les nappes d’eau souterraines

 


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Qu’est-ce qu’une ZNIEFF ?

Posté par Joël le 21 octobre 2017

 

ZNIEFF - Zone Naturelle d’Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique

Il s’agit d’une zone naturelle présentant un intérêt écologique, faunistique ou floristique particulier ayant fait l’objet d’un inventaire scientifique national sous l’autorité du Muséum National d’Histoire Naturelle pour le compte du Ministère de l’Environnement.

Qu'est-ce qu'une ZNIEFF ? dans Biodiversité logo_ZNIEFF

 

 

La désignation d’une ZNIEFF repose surtout sur la présence d’espèces ou d’associations d’espèces à fort intérêt patrimonial.

Deux types sont ainsi recensés : 

Les ZNIEFF de type I, de superficie réduite, sont des espaces homogènes d’un point de vue écologique et qui abritent au moins une espèce et/ou un habitat rares ou menacés, d’intérêt aussi bien local que régional, national ou communautaire ; ou ce sont des espaces d’un grand intérêt fonctionnel pour le fonctionnement écologique local.

Les ZNIEFF de type II sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes. Elles peuvent inclure des zones de type I et possèdent un rôle fonctionnel ainsi qu’une cohérence écologique et paysagère.

 

 

Et Beuvry dans tout ça ?

Dans la longue liste des ZNIEFF on trouve notamment la ZNIEFF continentale de type I – N°310013361 – « Marais de Beuvry, Cuinchy et Festubert ».

D’une superficie de 826,97 hectares, elle est située sur les communes suivantes : Annequin ; Beuvry ; Cambrin ; Cuinchy ; Festubert et Sailly-Labourse.

Le périmètre de cette ZNIEFF englobe un complexe de zones humides remarquables, situé en plein cœur du Béthunois. Il intègre également la réserve naturelle régionale du marais de Cambrin et les prairies humides d’Annequin et de Cuinchy qui abritent une biodiversité et un patrimoine naturel exceptionnels sur de faibles surfaces et ce, malgré le contexte très urbanisé du secteur.

De nombreuses espèces « déterminantes » ou « à statut réglementé » y ont été observés : chauves-souris, batraciens, insectes, oiseaux et poissons, mais aussi de nombreuses plantes.

 

Grenouille de Lessona
Grenouille de Lessona

Oreillard roux
Oreillard roux

Râle d'eau
Râle d’eau

Grande douve, Renoncule Langue
Grande douve, Renoncule Langue

Hottonie des marais
Hottonie des marais

 

Une autre ZNIEFF concerne une petite partie sud de la ville, la ZNIEFF continentale de type 1 – N° 310013319 – « Marais de la Loisne »

D’une superficie de  94,8 hectares, elle est située sur les communes suivantes : Beuvry ; Labourse et Verquigneul.

Localisé sur les anciens marais de la Loisne et incluant les terrils, le site a été largement réaménagé en espace de loisirs avec de nombreux étangs de pêche. Mais, il est traversé par l’A26, qui contribue à fortement le dénaturer.

 

Triton crêté

Le Triton crêté est inscrit à l’Annexe II de la Directive Habitats.

Collier-de-corail

Collier-de-corail.

 

 

Sources et images : logo_inpn écologie dans Comprendre pour Agir

CBNBl, GON, CSN, NPDC, DREAL NPDC , 2015.- 310013361, Marais de Beuvry, Cuinchy et Festubert – INPN, SPN-MNHN Paris, 17P.


Reproduction interdite

Publié dans Biodiversité, Comprendre pour Agir, Géographie, Loisne, Présentation de Beuvry | 2 Commentaires »

Formules répulsives pour chats à faire soi-même

Posté par Joël le 10 avril 2017

 

Tout le monde ne trouve pas forcément un objet insolite en faisant son jardin…
Par contre, il est bien désagréable de retrouver des excréments de chats dans ses plantations, dans le bac à sable des enfants ou dans les massifs de fleurs…

Si cette mésaventure vous est déjà arrivée, cet article peut vous intéresser.

 

Le chat est un animal territorial qui a besoin de laisser ses empreintes olfactives sur des objets pour communiquer auprès de ses congénères. Pour cela, il utilise des glandes situées sur sa face ou, plus gênant, celles situées sous ses pattes, en griffant. Il le fait aussi en urinant.

Bien qu’il soit difficile de convaincre un chat de faire ce dont il n’a pas envie, il est possible de les éloigner avec des produits répulsifs. En effet, les chats détestent certaines odeurs comme celles de l’orange, de la lavande, ou poivre…

Formule répulsive pour chat à faire soi-même

 

Confectionnez vous-même un répulsif pour chat !

Il existe, dans le commerce, différents types de répulsifs pour chats  (pour la plupart assez efficaces), mais leur prix n’est pas donné. Vous pouvez fabriquer un répulsif « maison » pour les chats qui les pousseront à faire leurs besoins ailleurs.

Je vous propose ci-dessous des recettes de répulsifs qui fonctionnent aussi en extérieur.

Les répulsifs « maison » présentés sont sans danger, car ils agissent uniquement sur l’odorat du chat et respectent l’environnement. Mais n’oubliez pas de lire le dernier paragraphe : « Attention ! ».

Dans tous les cas, il faut nettoyer les surfaces souillées avant d’utiliser un répulsif, mais gardez toujours à l’esprit qu’il ne faut jamais nettoyer à l’eau de javel un endroit sali par un chat. En effet, l’eau de javel attire énormément les chats et les incite à marquer de nouveau leur territoire.

 

Orange – lavande et bicarbonate

Épluchez 1 orange

Mélangez les écorces coupées avec 1 tasse (240 ml) de bicarbonate de soude et 1 tasse de lavande séchée dans un récipient couvert.

Après avoir nettoyé et traité la zone souillée répandez ce mélange de façon uniforme aux endroits ou votre chat à laisser ses marques.

Laissez poser pendant 24 heures, puis aspirez.

 

Cannelle, romarin, lavande et vinaigre blanc

Faire bouillir 3 tasses d’eau

Ajoutez 3 cuillère à soupe de cannelle, 3 de romarin et 3 de lavande séchée.

Couvrez et laissez infuser une nuit.

Filtrez le liquide obtenu et versez-le dans un vaporisateur.

Ajoutez ¾ d’une tasse de vinaigre blanc et 15 gouttes d’huile essentielle d’orange, bien agiter.

 

Citron et eucalyptus

Mélangez dans un vaporisateur ¼ de litre d’eau

10 gouttes d’huiles essentielles de citron ou le zeste d’un citron

20 gouttes d’huiles essentielles d’eucalyptus

 

Poivre noir

Faites bouillir la valeur d’une tasse d’eau dans une casserole et retirez du feu

Laissez poser 3 minutes et mélangez 2 cuillères à soupe de poivre noir frais pilé (ou du poivre noir de Madagascar en grains pilé), bien remuer jusqu’à dilution complète.

Une fois la solution refroidie et filtrée, récupérez-la dans un vaporisateur.

Faites attention lorsque vous ajoutez le poivre à l’eau. Assurez-vous de ne pas recevoir de la vapeur dans les yeux, cela pourrait agir vous incommoder (temporairement).

 

Marc de café

Le marc de café est un répulsif naturel pour chat qui peut dissuader ces derniers de venir uriner à certains endroits.  Le marc de café aura de plus un effet bénéfique pour le sol.

Le marc de café a de nombreuses vertus, il permet d’éviter la prolifération des pucerons sur vos rosiers par exemple, il peut aussi être mis dans votre composteur.

 

« Ma » recette maison : Poivre noir, fond moutarde, reste d’oignon

Mettez de côté le fond d’un pot de moutarde dont les qualités gustatives ne sont plus à votre goût mais dont l’odeur est encore forte.

Lorsque vous utilisez de l’oignon frais pour cuisiner, il y a parfois quelques restes, ne les gaspillez pas ils peuvent servir !

Ça c’est mon côté « chasse au gaspillage alimentaire » !

Mais si vous n’avez pas de reste, vous utilisez tout simplement un quart d’oignon que vous aurez découpé finement et 2 bonnes cuillères de moutarde.

Incorporez le tout dans un récipient avec bouchon (bidon vide d’eau déminéralise par exemple) contenant environ un litre d’eau (de pluie par exemple) et ajoutez une ou deux cuillères de poivre noir (si possible fraichement moulu).

Fermez avec le bouchon et laissez infuser au moins une nuit…

Filtrez le liquide obtenu et versez-le dans un vaporisateur et asperger aux endroits souhaités.

Répéter à tous les 2 jours durant deux semaines pour un bon résultat.

Certaines « recettes » ne prévoient qu’un seul de ces 3 ingrédients, pour tenir compte des différentes sensibilités des chats dont il est question en début d’article, je mélange les 3.

 

Attention !

D’autres « solutions » sont parfois présentées pour éloigner les chats… mais elles peuvent s’avérer nocives !

En effet, sur internet, dans les magazines et même dans certains journaux, on peut lire d’énormes bêtises écrites par des personnes qui ont besoin de remplir des lignes, sans avoir vraiment travaillé ou compris le sujet. Et parfois, certains articles ressemblent plus à un poisson d’avril qu’à une information digne de ce nom.

 

L’odeur du soufre pique le nez des chats et permet donc de vite les repousser, mais je vous le déconseille fortement car il très dangereux à cause de ses propriétés chimiques qui peuvent rendre malade les félins.

N’utilisez jamais de boules antimites pour éloigner des animaux, elles sont extrêmement toxiques pour les humains et les animaux. De plus, les boules antimites sont nocives pour l’environnement, car elles déversent des toxines dans le sol qui finiront dans les nappes phréatiques.

De même les « solutions » contenant de l’ammoniaque sont à bannir, car très dangereuse !

 


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